Dans le cadre d’un mandat d’assainissement de la Confédération, les CFF ont installé des parois antibruit afin de protéger les riveraines et riverains contre le bruit ferroviaire. Ils ont également recours à ces protections phoniques dans le cadre de projets d’aménagement, lorsque cela s’avère nécessaire. Lorsque la limite sonore autorisée est dépassée malgré les parois, des fenêtres antibruit sont posées.
Actuellement, le réseau ferroviaire des CFF est considéré comme assaini au sens de l’ordonnance sur la protection contre le bruit, déterminante pour les CFF. Par conséquent, des mesures supplémentaires de protection phonique le long de l’infrastructure actuelle ne sont envisagées que lorsqu’une hausse du nombre de trains ou d’autres modifications à l’infrastructure provoquent une augmentation des nuisances sonores.
Les évaluations correspondantes sont réalisées par les spécialistes de l’environnement des CFF, dans le cadre de la procédure d’autorisation de construire, à l’appui des dispositions fédérales. Les résultats sont contrôlés par les services de protection de l’environnement de la Confédération et des cantons concernés dans le cadre de la procédure d’autorisation.